Merci les copains:
Galerie de photos: petits et grands coup de mains
Depuis janvier 2015, il serait illusoir de chercher à compter le nombre d'heures de travail effectuées. Pour autant, il est toujours sympa de penser à certaines journées de boulot partagées avec les potes et la famille sur Gaïa.Mais d'abord, pour fêter ça: apéro.
Bien que je ne retrouve aucune preuve, Christophe, vu ici un verre de rhum à la main, a participé au ponçage du plafond dans la cabine (si, si, là en haut à droite!); sa perceuse Bosch, prétée pour toutes les opérations de décapage (brosse métallique rotative) aura même succombé à la tâche; Christophe a aussi participé au remontage du panneau de roof. Mais prendre des photos avec du sikaflex plein les doigts... ça n'aurait pas été bon pour mon portable. Bref: il faut me croire sur paroles! :-)
Démontage.
Début 2015, Gaïa n'est encore qu'un bateau fantôme de mon imagination, l'épave du "Noum Bam" venu du bassin d'Arcachon. Il faut extirper la coque de ses boiseries pourries et la débarasser de la corrosion.Maman Monica tombe la jupe... c'est à dire le plancher pourri de la jupe arrière.
Papa casse le coffre. L'entourage des ouvertures des coffres arrières est rongé par la rouille. Pour réparer il faudra couper la taule pourrie et souder de l'acier neuf, et pour ça il faut arracher les compartiments en stratifié (résine et fibre de verre, inflammable) sur contreplaqué. Papa Jean-Luc et bibi, on s'y colle.
Ah! le voilà... coucou p'pa!
Ça mérite bien un apéro!
A l'intérieur aussi, ça démonte "sévère". Charlotte s'attaque au carrelage de la cuisine pour pouvoir atteindre les vis et démonter proprement les panneaux.
Allez... apéro!
Décapage
Si la partie de la coque sous la ligne de flottaison ou "oeuvres vives" sera décapée par un professionnel de l'hydrogommage, ou sablage, pour les "oeuvres mortes" (au dessus de la flottaison) c'est au décapeur thermique, au grattoir, à la "lame vibrante" et à l'huile de coude que ce sera fait.Ici Lyes en action.
Sandrine, tout sourire!
Charlotte et Alex
Et Loic, sans qui j'aurais eu bien du mal à réparer la coque!
Avant:
Au premier jour...
... et aprés "grattage".
Ci dessus: aprés peinture primaire.
Dessous: avec Jérôme et Guillaume, nous nous sommes relayés pour scier patiemment à la main l'axe en plastique de la dérive d'une douzaine de centimètres de diamètre. Bref: on en a scié!
Peinture du roof, avec Romain et Antoine...
... apéro!
Bien plus tard: Audrey aide à refaire l'isolation du coin "table à cartes".
Panneaux d'isolant préalablement nettoyés par Romain et Antoine.
Antoine, trés assidu sur Gaïa à certaines périodes!
Et revoilà maman en mode "peintre".
Je dois mentionner ici tous ceux qui ont mit les doigts dans le sika (colle/joint pour la marine) avec moi pour des opérations de remontage et que je n'ai pas pu immortaliser, ayant moi-même du sika plein les mains. Christophe, Sandrine, Fred, Othman.
Merci à tous pour les coups de mains et la convivialité!
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